Un homme à distance – Pancol Katherine
Titre : Un homme à distance
Auteur : Pancol Katherine
Editions Le Livre de Poche
Publié en 2004 ~ Langue : Française ~ 160 pages
Résumé :
Ceci est l’histoire de Kay Bartholdi, un roman par lettres comme on en écrivait au 18ème siècle. UN inconnu écrit à Kay, libraire à Fécamp, pour lui commander des livres.
Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi.
Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux. Ils se font des scènes, des confidences, s’engagent peu à peu dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d’une déchirure ancienne, s’efforce de repousser…
Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes…semble dire ce roman de Katherine Pancol, auteur, entre autres, d’Embrassez-moi, J’étais là avant ou Les yeux jaunes des crocodiles.
Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi.
Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux. Ils se font des scènes, des confidences, s’engagent peu à peu dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d’une déchirure ancienne, s’efforce de repousser…
Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes…semble dire ce roman de Katherine Pancol, auteur, entre autres, d’Embrassez-moi, J’étais là avant ou Les yeux jaunes des crocodiles.
Mon avis (lu en avril 2011):
Les petits bijoux littéraires semés de-ci de-là sont appréciable et la fin m’a beaucoup plu ! Je ne suis pas fan des histoires d’amours mais j’adore les romans épistolaires, j’ai donc tenté ma chance. De plus j’avais été déçue par les yeux jaunes des crocodiles et je voulais laisser une seconde chance à Pancol, pari réussit. Même si le début est un peu barbant le rebondissement final m’a enchanté.
J’ai noté « Bon »
Citation :
Et les années passaient, mais on ne les voyait pas passer. Le bonheur ne laisse pas de traces. C’est une étoile filante. Il passe, c’est tout, il remplit la vie d’images éblouissantes qui défilent à toute allure et qu’on ne retient pas.
18 décembre, 2011 à 20:00 | Commentaires (0) | Permalien